Dans la galaxie des organismes de formation, il existe une étrange tribu qu’on appelle les “Gilets Jaunes de Qualiopi”. Pas nombreux, mais bruyants. Un mélange explosif de scepticisme et de théories fumeuses glanées sur LinkedIn. Leur crédo ? “Qualiopi, c’est juste une usine à gaz de plus !”. À les entendre, on croirait presque que l’audit est un grand complot orchestré par des extraterrestres bureaucratiques pour nous imposer des formulaires à n’en plus finir.
🎵 “Je ne crois pas ce qu’on me dit, c’est pas la véritééééé…”
(Michel Sardou aurait pu chanter leur combat si LinkedIn avait existé dans les années 70.)
Mais soyons honnêtes : même les plus fervents Qualiopi sceptiques finissent par lâcher prise, souvent en plein audit. Car après tout, un audit, ce n’est pas si terrible. “Une journée pour poser son cerveau et réfléchir à ses pratiques, ça a du bon”, reconnaissent ils parfois à demi-mot, comme s’ils avouaient un secret inavouable.
🎵 “C’est qui le plus fort ? Évidemment c’est Qualiopi !”
(Johnny Hallyday aurait validé l’idée que la norme a un certain panache.)
L’an dernier, j’avais mené une petite étude sur la perception de la marque Qualiopi. Et la tendance est claire : une fois l’effet “gilets jaunes” passé, les audités réalisent souvent que, loin d’être un “cauchemar administratif”, la certification leur permet de mettre un coup de projecteur sur leurs points forts… et leurs zones d’ombre. Parce que oui, parfois, ça pique un peu quand l’auditeur pose une question qui “oblige à réfléchir à des solutions plus efficientes”. Mais, comme dirait le philosophe contemporain Booba :
🎵 “Au final, c’est bénéfique.”
Alors, chers Gilets Jaunes de Qualiopi, une question pour vous : et si l’audit était moins une contrainte qu’un miroir ? Un miroir un peu agaçant, certes, mais qui vous pousse à devenir la meilleure version de votre structure ? Après tout, comme le disait Coluche :
“C’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison.”
L'objectivité c'est votre fort 😅